Que fait Rossini dans un programme consacré aux deux stars du romantisme viennois précoce ? C’est très simple : il vient réclamer sa juste place dans l’histoire de la musique. En effet, si aujourd’hui encore, Vienne est pour nous avant tout liée à Beethoven et Schubert, la ville était, à l’époque, complètement sous le charme des pétillants opéras du compositeur italien. Anima Eterna Brugge s’engage dans ce programme avec rien moins que le chef d’orchestre Giovanni Antonini, qui passe sa vie entière entre l’Italie et l’Europe germanophone.
Gioachino Rossini (1792-1868)
Ouverture de L’italiana in Algeri
Ludwig van Beethoven (1770-1827)
Symphonie n° 2 en ré majeur, opus 36
Franz Schubert (1797-1828)
Symphonie n° 4 en do mineur, D417
Gioachino Rossini (1792-1868)
Ouverture de L’italiana in Algeri
Ludwig van Beethoven (1770-1827)
Symphonie n°
Anima Eterna Brugge : orchestre
Giovanni Antonini : chef d’orchestre