Introduction par Ignace Bossuyt | 19.15 |
début | 20.00 |
fin prévue | 22.05 |
avec une pause |
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Tu as moins de 26 ans ? Goûtez à la musique et à la danse à moitié prix
« Coffee, Coffee muss ich haben ! » Cela pourrait être le slogan d’un type branché berlinois, mais ici, la parole est à son prototype. Lieschen, l’enfant terrible de la célèbre Cantate du café BWV211 de Bach, donne sa vie pour une tasse de café, en dépit de tous les contre-arguments de son père conservateur. Ce mini-drame savoureux fut créé dans l’illustre Café Zimmermann à Leipzig, où l’or noir coulait à flots. C’est dans ce même lieu que résonna le 5 septembre 1733 une autre cantate de Bach, Lasst uns sorgen, lasst uns wachen, hommage pour le onzième anniversaire du prince électeur de Saxe. Le livret dépeint le jeune Friedrich Christian en héros Hercule, qui ouvre le droit chemin au croisement de la fidélité et de l’infidélité. Avec une ouverture tirée de la production bigarrée de Telemann, il Gardellino déroulera le tapis rouge pour ce programme inhabituellement frivole.
Georg Philipp Telemann (1681-1767)
Ouverture en ré majeur, TWV55 :D21
Johann Sebastian Bach (1685-1750)
Schweigt stille, plaudert nicht, BWV211
Lasst uns sorgen, lasst uns wachen, BWV213
Georg Philipp Telemann (1681-1767)
Ouverture en ré majeur, TWV55 :D21
Johann Sebastian Bach (1685-1750)
Schw
il Gardellino : ensemble
Peter Van Heyghen : chef d'orchestre
Griet De Geyter : soprano
Alex Potter, Bart Uvin : altus
Thomas Hobbs : ténor
Stephan MacLeod : basse
il Gardellino : ensemble
Peter Van Heyghen : chef d'orchestre
Griet De Geyter : soprano
Alex Potter, Bart Uvin
Introduction par Ignace Bossuyt | 19.15 |
début | 20.00 |
fin prévue | 22.05 |
avec une pause |
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