Introduction par Jan Christiaens | 19.15 |
début | 20.00 |
fin prévue | 22.10 |
avec une pause |
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« Le monde de la musique a rarement attendu avec autant d’impatience la première symphonie d’un compositeur ! » Voilà ce qu’écrivit le célèbre critique musical Eduard Hanslick après la première viennoise de la Première symphonie de Brahms. Celui-ci y avait travaillé plus de dix ans. L’étiquette « la dixième de Beethoven » dont on affubla cette œuvre juste après sa création donna néanmoins à Brahms, parangon d’autocritique, la confiance nécessaire. Le concerto pour violon de Brahms trouve son origine dans sa longue amitié avec le violoniste Joseph Joachim. Il ne l’a d’ailleurs pas tant écrit pour Joachim qu’avec lui. De l’ouverture prolixe au finale enjolivé de brio hongrois : c’est un des plus fastueux concertos du répertoire. Un jeu d’enfants pour le violoniste étoile Ray Chen, accompagné du phénoménal London Philharmonic Orchestra.
Johannes Brahms (1833-1897)
Concerto pour violon en ré majeur, opus 77
Symphonie n° 1 en ut mineur, opus 68
London Philharmonic Orchestra : orchestre
Manfred Honeck : direction
Ray Chen : violon
Introduction par Jan Christiaens | 19.15 |
début | 20.00 |
fin prévue | 22.10 |
avec une pause |
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