L’œuvre la plus célèbre mais aussi la plus mystérieuse de Mozart.
En dehors des quatre premières minutes, Mozart n’aura écrit avant sa mort en octobre 1791 que des fragments de l’œuvre, qui furent complétés par de nombreux auteurs.
On doit la version la plus fréquemment interprétée à l’assistant de Mozart, Franz Xaver Süßmayr, qui a choisi de réutiliser le Requiem aeternam pour la fin.
Né au cours d’une période particulièrement fertile, juste après les chefs-d’œuvre La Clémence de Titus et La Flûte enchantée.
L’image de Mozart écrivant fébrilement sur son lit de mort, assisté par un Salieri jaloux, abondamment mise en avant par Pouchkine, Rimski-Korsakov, Peter Schaffer et Miloš Forman dans son Amadeus s’avère n’être en réalité qu’une légende.
Le Concertgebouw proposera durant la saison 18-19 cinq nouveaux Chefs-d’œuvre. Cinq œuvres emblématiques de l’histoire de la musique, que l’on se doit d’avoir entendues au moins une fois en direct dans sa vie. Et chacune de ces œuvres sera l’occasion d’une programmation fournie mêlant projets participatifs (en collaboration avec Musica), apprentissages et activités contextuelles.