Introduction par Yves Knockaert | 19.15 |
début | 20.00 |
fin prévue | 22.10 |
avec une pause |
Tu as moins de 26 ans ? Goûtez à la musique et à la danse à moitié prix
Après une première désastreuse, Prokofiev mit son Concerto pour violoncelle au rebut. Ce n’est qu’après avoir écouté un enregistrement de l’œuvre par le jeune Mstislav Rostropovitch, âgé de 22 ans, qu’il remanie avec lui son concerto et lui donne le nom de Sinfonia Concertante. Prokofiev y intégra sa marque de fabrique caractéristique : des dissonances associées à des passages lyriques. Les Danses symphoniques de Rachmaninov, rarement interprétées dans les dix années suivant leur création, ont connu une histoire similaire. Avec ses puissantes harmonies expressionnistes à la manière de Stravinsky, ses passages grotesques à la Prokofiev et la vivacité rythmique si caractéristique du style de la maturité de Rachmaninov, cette œuvre aurait pu aisément être sa Quatrième symphonie. Maslenitsa de Connesson n’est pas russe, mais inspiré par les fêtes populaires russes. La pièce renvoie à l’ancienne Russie, rêvée par un Français, et dépeint une joie exubérante mêlée de souffrances. Un hommage au pays et à la musique que le compositeur aime tant.
Sergueï Prokofiev (1891-1953)
Sinfonia Concertante, opus 125
Sergueï Rachmaninov (1873-1943)
Danses symphoniques, opus 45
Guillaume Connesson (1970)
Maslenitsa
Sergueï Prokofiev (1891-1953)
Sinfonia Concertante, opus 125
Sergueï Rachmaninov (1873-1943)
Danses symphoni
Brussels Philharmonic : orchestre
Stéphane Denève : direction
Jérôme Pernoo : violoncelle
Introduction par Yves Knockaert | 19.15 |
début | 20.00 |
fin prévue | 22.10 |
avec une pause |
Tu as moins de 26 ans ? Goûtez à la musique et à la danse à moitié prix