cet événement fait partie de
Introduction par Jan Christiaens | 19.15 |
début | 20.00 |
Entretien après le spectacle par Johan Thielemans avec Iván Fischer | |
avec une pause |
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Traduire la vie intérieure en d’innombrables nuances à l’aide d’une large palette sonore : voilà la vocation de la musique orchestrale romantique tardive. La Symphonie n° 10 inachevée de Mahler, à l’époque gravement malade, fait partie des œuvres musicales les plus langoureuses jamais écrites. La partie de violon du Concerto de Sibelius, dont chaque mesure est imprégnée de la mélancolie scandinave, est à son tour d’une sincérité déchirante. Les joyeuses pirouettes sonores avec lesquelles Richard Strauss évoque les pitreries de Till l’Espiègle viennent équilibrer ce programme.
Richard Strauss (1864-1949)
Suite n° 1 extraite du Chevalier à la rose, opus 59
Till l’Espiègle, opus 28
Jean Sibelius (1865-1957)
Concerto pour violon en ré mineur, opus 47
Gustav Mahler (1860-1911)
Adagio extrait de la Symphonie n° 10 en fa dièse majeur
Richard Strauss (1864-1949)
Suite n° 1 extraite du Chevalier à la rose, opus 59
Till l’Espiègle, opus 28
Jean
Orchestre du Festival de Budapest : orchestre
Iván Fischer : chef d’orchestre
Ning Feng : violon
Introduction par Jan Christiaens | 19.15 |
début | 20.00 |
Entretien après le spectacle par Johan Thielemans avec Iván Fischer | |
avec une pause |
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