début | 20.00 |
fin prévue | 21.30 |
Contrairement à Mozart vingt ans plus tôt, Ludwig van Beethoven parvint à joindre les deux bouts sans fonction officielle ni protecteur. Cette émancipation a favorisé l’émergence de l’image icône de l’artiste, créateur indépendant et génial. Un thème auquel s’intéressent de près le pianiste Julien Libeer et l’historien du culturel Tom Verschaffel. En compagnie de Lorenzo Gatto, Libeer illustrera cette transformation à l’aide des première et dernière sonates pour violon de Beethoven.
Ludwig van Beethoven (1770-1827)
Sonate pour violon n° 1 en ré majeur, opus 12
Sonate pour violon n° 10 en sol majeur, opus 96
Ludwig van Beethoven (1770-1827)
Sonate pour violon n° 1 en ré majeur, opus 12
Sonate pour violon n° 10 en sol
Julien Libeer : piano
Lorendim Gatto : violon
Tom Verschaffel : historien du culturel
début | 20.00 |
fin prévue | 21.30 |