« Le requiem est aussi doux que moi-même », disait Fauré à propos de sa messe funèbre plutôt atypique. En effet, celui-ci n’envisage pas la mort à travers les visions monumentales d’une fin abominable, mais comme un modeste adieu à la vie, un départ heureux et paisible. Les motets de Bruckner témoignent de la même sérénité. La Symphonie de psaumes rituelle de Stravinsky pour chœur et orchestre offre un contraste poignant. Philippe Herreweghe vous invite avec grand plaisir à ce voyage pieux dans le passé.
Gabriel Fauré (1845-1924)
Requiem, opus 48
Anton Bruckner (1824-1896)
Motets
Igor Stravinsky (1882-1971)
Symphonie de psaumes
Gabriel Fauré (1845-1924)
Requiem, opus 48
Anton Bruckner (1824-1896)
Motets
Igor Stravinsky (1882-1971)
Sym
Orchestre des Champs-Élysées : orchestre
Collegium Vocale Gent : chœur
Philippe Herreweghe : chef d’orchestre
Dorothee Mields : soprano
Krešimir Stražanac : baryton-basse
Orchestre des Champs-Élysées : orchestre
Collegium Vocale Gent : chœur
Philippe Herreweghe : chef d’orchestre