« Dans ma symphonie, la nature a elle-même une voix, qui révèle des secrets si profondément enfouis que l’on ne peut les entrevoir qu’en rêve » écrivait Mahler en juillet 1896 à une amie.
Mahler décrivit un jour cette symphonie comme un récit de la création en six étapes, de la terre au ciel et à Dieu.
La Troisième est une des plus longues symphonies de Mahler, qui nécessite un grand orchestre ainsi qu’un alto solo, un chœur de femmes et d’enfants, et un orgue.
Le texte pénétrant du lied du quatrième mouvement est extrait du livre Ainsi parlait Zarathoustra de Friedrich Nietzsche.